Caroline Alvarado

Caroline ALVARADO

VENDREDI 24 MARS 15h30

CV:

Kinésithérapeute (1986), Ostéopathe (2006), , Pratique exclusive en rééducation maxillo-faciale, en cabinet libéral (2008)
DU de rééducation maxillo-faciale en 2007-08, faculté de Montpellier
DU d’entretien motivationnel en 2018-19, faculté Montpellier-Nîmes
Enseignante vacataire à la Faculté de Lyon I (ISTR et IFMKDV), UCB Lyon 1, chargée de cours, au sein de l’école d’ostéopathie, PLP-Formation,
Jury de DE de fin d’études de kinésithérapie, Jury de DU de techniques de rééducation maxillo-faciale, Montpellier

Depuis 2013 : vacation au Centre de Soins Dentaires de Lyon, Consultation pluridisciplinaire ortho-chirurgicale, Pr JC FARGES, Dr PERNIER, Pr BOULETREAU

Depuis 2013 : intervenante dans le DIU de chirurgie orthognathique, Pr BOULETREAU, Centre Hospitalier Lyon-Sud : « fonctions maxillo-faciales et croissance », « rééducation maxillo-faciale » 

Depuis promotion 2014-15 : Jury de DU de techniques de rééducation maxillo-faciale, Montpellier

Depuis 2015, adhérente de la SFP_GIMF, GI-douleur, et à la SIKLOMF

Depuis promotion 2017-18 : intervenante dans le DU de kinésithérapie respiratoire et cardio-vasculaire, module VNIDU d’entretien motivationnel en 2018-19, faculté Montpellier-Nîmes

__________

Résumé

Kinésithérapie – Chirurgie: un travail en équipe

Certains patients peuvent bénéficier d’une chirurgie de l’ATM, en cas d’échec des thérapeutiques conservatrices. Ces chirurgies répondent à des indications précises et doivent être encadrées de kinésithérapie, à l’instar de nos confrères chirurgiens orthopédistes.

La kinésithérapie s’entend donc à toutes les phases de la prise en charge, très amont du geste chirurgical, juste après, et va accompagner la récupération au fil des mois. 

Nous parlerons ici de la collaboration entre kinésithérapeute spécialisé et chirurgien, afin de permettre une récupération fonctionnelle optimale de ces patients en impasse thérapeutique. 

Certains patients peuvent bénéficier d’une chirurgie de l’ATM, en cas d’échec des thérapeutiques conservatrices. Ces chirurgies répondent à des indications précises et doivent être encadrées de kinésithérapie, à l’instar de nos confrères chirurgiens orthopédistes.

La kinésithérapie s’entend donc à toutes les phases de la prise en charge, très amont du geste chirurgical, juste après, et va accompagner la récupération au fil des mois. 

Nous parlerons ici de la collaboration entre kinésithérapeute spécialisé et chirurgien, afin de permettre une récupération fonctionnelle optimale de ces patients en impasse thérapeutique. 

Du bilan pré opératoire, à la chirurgie, en passant par la toxine botulique, nous verrons ici comment agencer au mieux le parcours de ces patients.